mardi 24 juillet 2007

Ambiance Vacances

Die Hard 2 :

Nous voici donc de plein pied dans l'univers maltais. Carte en main, Livre Maltaises dans les poches, lunettes de soleil vissées sur le nez et serviette de plage sur l'épaule, nous sommes impatients (bon moi en fait, car Ben n'a qu'une envie, celle de dormir) de parcourir la côte à la recherche des plages indiquées sur le road book. Bien sûr, celle-ci reste très sommaire et un morceau de sable peut constituer ce qu'ils schématisent par un parasol arc-en-ciel sur la map. Tout juste remis de nos émotions de la veille (remember Havana, Footloose, etc...) que nous (je en l'occurence) nous réveillons à l'aube (environ 12h30) pour activer le début de la journée ainsi qu'un départ relativement tôt côté soleil / playa. Car au contraire de mon compagnon de voyage, je suis un peu pâlot et mon travail sur place consiste à partir le plus rapidement possible me poser au sun. Pour la petite histoire, Ben dormait car quand il ouvrait les yeux, il me voyait en train de pioncer, et moi je dormais et quand je le voyait en plein kiff avec Mlle Morphée, et bien je me rendormais. Pour une fois j'ai fais preuve d'une parfaite lecture de la situation et j'ai décidé alors de me bouger les fesses.

Un bol de Choco Pops plus tard, les marmottes n'étaient toujours pas sorties de leur hibernation. C'est là que la meilleur option s'offrait à moi : balancer un bon son brut dans les oreilles de mes deux galinettes de potes. Everybody de Martin Solveig (dédicace à toi, Ô ex-habitant de Colombes dans mon 9-2 à moi et ancien pensionnaire d'un collège à Neuilly avec mon ami Francesco) sera choisit pour mettre en ambiance tout le monde. L'après midi sera exclusivement consacré à la présence de Ben sur Malte c'est-à-dire participer et aider Nassim dans son projet. Moi, écoutez je sais plus ce que j'ai fais ce jour mais me rappelle très bien la soirée, mais alors d'une espèce de force. C'est vrai, comment oublier que j'ai perdu en head's up (de toute façon je pourrai pas gagner à moins de changer quelque peu mon style de jeu, surtout contre mon mentor !!!) la vaisselle du mercredi, et comme ça me suffisait pas, je demande la revanche, que je perd également, donc à moi la vaisselle du jeudi aussi. Le soir, nous rencontrons les amis de Nass sur place qui sont passés prendre l'apéro. Nous sortons de nouveau, toujours la même ambiance, toujours la même folie. Je tairais à nouveau ces épisodes nocturnes car ils sont trop intenses.

A suivre, Die Hard 3.

jeudi 12 juillet 2007

Ambiance Vacances

Allez promis, ce sera l'un des derniers post concernant Malte. Mais en même temps vu que je ne remets plus les pieds à l'ACF (enfin, pas dans l'immédiat), vous raconter autre chose n'a pas grand intérêt.


Die Hard 1/2 :


Alors nous voici le 1 er juillet et nous sommes tout content de nous promener dans le duty free d'Orly Sud, et là encore, la Blackcat Attitude prend tout son sens : les clopes qu'on voulait acheter sont réservées aux passagers qui se cassent de l'UE, or Malte est depuis peu un membre de cette vieille Europe. Commence bien le voyage !!!!

Atterrissant sur l'aéroport international de Luga, on s'aperçoit mais très très vite que la monnaie locale est extrêmement forte, (2.3 fois plus forte que l'euro) et nous nous demandons encore comment nous débarrasser d'une telle guigne (Neverdead le savait d'entrée mais ne voulait pas cafter, il fallait se débarrasser de moi). Là nous constatons au minuscule, presque lilliputien duty free local que les clopes (entre autre) sont moins chères mais pas de quoi sauter en l'air (3.5 euros contre 5 ici). Mais forts de notre bêtise, nous achèterons sur place, pour faire vivre le commerce local et non l'international (bon ok, on s'apercevra très vite aussi que c'était une connerie monumentale mais en même temps on n’avait pas testé le goût de ces cigarettes alors...). Ensuite, nous prenons du ravitaillement monétaire en testant deux méthodes : Ben au change, moi à la tirette. Ce n'est qu'aujourd'hui que je m'aperçois que ces enc*** de la Société Générale prenaient en réalité 5 % de comm sur le retrait hors EURO !!!!???? Alors que j'avais appelé cette belle banque la veille du départ, alors que j'étais à St Lazare devant un bureau de change, et que mon interlocuteur téléphonique m'avait assuré que cela coûterait 1 € par retrait... grrrrrrrr.... La poisse ne me lâche pas. Bilan : 20 € de frais pour eux, et moi comme un con qui cherche à joindre mon banquier désormais.

L'épisode financier achevé, nous poireautons des plombes pour récupérer les bagages. Il faut dire que les bagagistes locaux ont déchargé l'avion à l'aide des chariots métalliques que tout un chacun utilise pour récupérer ses valises, c'est vous dire le travail. On est tout content de pouvoir enfin, 1/2 heure plus tard, nous attarder à louer une caisse pour arpenter le territoire maltais. Ben arrive et constate l'étendue des dégâts en matière de voiture. Il annonce direct la couleur : "the chiper car please, with clim of course". Quelle lecture le bonhomme : nous qui nous étions mis à rêver éveillés à des Benz-Benz-Benz, à des Hummers et autres babioles de ce style, il remarque tout de suite que cela n'en vaut pas la peine, que cela ne nous fera pas plus kiffer surtout que vu le parc automobile de l'île, on serait passé plus pour des professionnels de la drogue que des professionnels du poker. Donc 10 minutes plus tard et maintenant que tous les inconvénients d'une loueur chez Avis sans les responsabilités dues à mon nouveau statut sont validés (c'est ma carte de crédit qui a fait office de dépôt de garantie, c'est mon permis de conduire français qui est sur le contrat, mais c'est Môsieur Lambert que l'on doit contacter en cas de problème, c'est Môsieur Lambert qui est chargé d'assurer le bon déroulement des négociations, etc, etc, etc...) que nous grimpons dans une superbe Fiat Punto 4 portes du plus bel effet, without sound (sauf celui du moteur qui saura qui je suis maintenant), volant à droite, levier de vitesse se retrouvant du coup sur ma gauche (cela aura son importance par la suite), moitié du plein d'essence (cela aura également son importance par la suite) à l'assaut des routes dégueulasses de ce pays. Malgré une carte toute claquée en guise de guide, je trouvais alors en Neverdead un copilote digne des Jarmo Lehtinen, Timo Rautiainen ou Daniel Elena, grands copilotes de WRC. Cela étant, son road book était léger et se limitait aux noms des grandes communes de l’île, des plages disponibles, des banques HSBC et rien de plus. Au diable, après un errements dans les baffons de La Valette (les rues sont telles les rues de San Francisco, avec juste la place pour laisser passer une voiture, les rétroviseurs sont de trop sur la caisse). Au bout d'une petite demi-heure et mon permis de conduire "maltais" en poche, conduite à gauche adoptée, nous arrivons non loin du Nassimovitch Hilton Hotel, où nous sommes bien obligés de demander notre chemin auprès : d'un commissariat où un seul homme de couleur en est ressortit libre, c'était Ben, et ensuite à 2 Chica, maîtrisant parfaitement notre langue, c'est à dire l'anglais avec un accent à couper du plexi glace renforcé. Les filles, faisant plus office de pu... que de jeunes filles de bonne famille, Ben se mordait la langue de pas prononcer le fameux "How much is it ??", lol, déjà arrivé qu'il est déjà en mode "y a pas de cas où je vanne pas". Elles nous indiquâmes parfaitement le chemin, mais encore une fois, je m’étais planté de route pour nous retrouver dans une rue qui en fait redonnait sur nos deux guides d'un soir. La jante gauche ayant finit de tailler le morceau de trottoir laissé en plein milieu de la route (ils sont vraiment relouds ces trottoirs, nous nous retrouvions finalement dans la rue des "4 you appartments", notre final destination, mais ils se trouvaient au début de la rue en sens unique, et nous étions à la fin. Si nous reprenions le sens "légal" du chemin, on retombait sur les 2 bombes au risque de passer pour des cons. Ben me regarde et me dit "c'est au bout de la rue, il faut faire tout le tour" et moi de lui répondre du tac-au-tac "non il faut taper une bed de marche arrière". Il me dit "GO GO GO !!!". Je tape les 500 m à fond de balle pour éviter toute mauvaise rencontre. On se gare et là on tombe sur une espèce d'appart hallucinant de luxe (vous serez d'accord avec mo ipour dire que c'est un pied à terre sympa aux vues des photos non ?), avec en haut, sur la terrasse, Jonas et Arnaud, 2 associés de Nassim, en train de s'la kiffer cigare à la main. Jonas était arrivé un peu avant nous de France et nous découvrions à peine les lieux qu'ils nous appartenaient déjà (lol).

On se trace un peu tard dans la nuit vers le quartier "hot" de la ville, à St Julians. Ne cherchez pas trop sur une carte, c'est minuscule, avec une rue où se succèdent les boîtes et les pubs, et où se mélangent aussi bien les grandes enseignes de Fast Food (big up au Burger King qui ferme ses portes à 6h du mat) que les petites paillasses à pizza. Nous faisons un tour rapide, nous sommes claqués et nous mourons de faim. Pas de chaude soirée ce soir, on prend juste nos marques.

Nous rentrons après un double Whooper Cheese et un Big King afin de nous préparer à enchaîner la journée du lendemain. Nous devons aller chercher notre hôte le lendemain à l'aéroport et nous sommes impatients de l'accueillir.


Die Hard 1 :

Nous nous levons donc aux aurores (13h) pour aller nous préparer à récupérer l'homme providentiel qui atterrit à 14h30. Nous nous dépêchons pour aller le récupérer. Nous nous en allons gaiement (en nous plantant comme d'hab. de route) direction Luga (tiens, bizarre on y était il y a moins de 24 heures) et on pécho l'ami chargé de son gros PC (qui aura lâché au bout d'une journée) et tous ses bagages. Nous n'aurons rien fais d'extraordinaire durant cette journée, à part squatter à 17h (un peu tard non ?) la plage presque déserte désormais de Golden Bay sauf que le soir Nass nous a servit de guide pour nous montrer les boîtes les plus fun du coin. On commença par le Havana, une big boîte coupée en deux car on est lundi, ce n’est pas non plus la grosse affluence : ambiance Hip Hop / R&B des plus reloud car on s'approchait plus de Shakira & Beyoncé que de 50 cent et Snoop. Bref, on tise un peu (Smirnoff Ice pour ne pas démarrer en trombe, sauf pour Ben qui avait élut le Sky Coke boisson officielle des vacances et qui ne se privera pas durant tout le séjour car à 2€ le verre, c'est comme qui dirait Noël avant l'heure). La soirée commence timidement. Le Havana est pas mal mais la taille, même réduite de moitié, donne une impression de vide vu le peu de monde dedans et de toute façon, si t'es pas noir, tu te fais mater par le crew 50 CEN A (oui, ils ont viré le T pour coudre un vieux A à la place façon Capitaine d’un team de hockey de NHL) et qui dès que tu te mets à lancer un petit pas de danse, te néglige du regard et tu sens qu'ils te tournent en dérision. Et moi qui n'ai pas mis les pieds dans une boîte depuis près de 2 piges (poker oblige), et bien je ne me sens pas super à l'aise non plus. Là Nass nous propose d'aller voir chez le voisin si l'herbe est plus fraîche (j'adore ces métaphores, seuls les initiés comprennent), et nous atterrissons à 10 m de là, au Footloose : un gros son House en sort (Work de Laurent Wolf pour ceux qui connaissent), et nous peinons à rentrer (ne va pas chercher ton courrier sans tes papiers Nass, tu es avertis désormais). A peine avons-nous poser 2 pieds là-dedans que je me retourne et que je vois l'ami Neverdead les bras en l'air, le bassin flexible et le visage illuminé en train de tortiller sa carcasse dans tous les sens, signe d'une oreille qui perçoit un son familier et acceptable, voire trippant, et qui par conséquent bouge son boule (ouaich ouaich Fatal !!!). Là il lâche le fameux "Je crois que j'ai trouvé la boîte des vacances, the place to be" comme il l'a annoncé sur son blog. Vraiment, un son qui tue, des chica de rêve bougeant comme des déesses et un lieu qui ne paye pas de mine, mais qui dégage une force intérieure qui nous fera pointer notre nez chaque soirée où nous sommes sortis, c'est-à-dire tous quoi...

Je vais en décevoir certain(e)s mais j'ai décidé, par respect pour tous, de passer sous silence les frasques de nos héros (et je m’inclus dedans) et ce n'est pas que c'est condamnable, loin de là, mais c'est que cela fait partie des choses que j'ai envie de garder dans mes souvenirs, et ne pas forcément les transformer en phrase "bloguées". Nous terminons ce Day 1 très tard ou tôt (c'est selon), l'esprit libre et le corps englué dans des vapeurs d'alcool (bon rien d'extra non plus, on ne peut pas vraiment se mettre une race avec de la Smirnoff Ice, hein Jo ??), dans une moiteur matinale pleine d'électricité. Nous nous endormons après avoir tapé le premier S&G des vacances, qui m'a vu triompher et venir à bout d'un Nassim qui, s'il entend tapis à la dernière, paye (perdant pour le coup) car il ne veut pas qu'on lui arrache le pot. Premier S&G, premiers euros pour ma tronche (2€ la partie, on est quasi refait).

Demain, je proposerai le Die Hard 2 pour vous, lecteur(trice)(s) adoré(e)(s).

Le retour à la réalité

Voilà, nous sommes rentrés.

Les post que j'ai balancé hier m'ont renvoyé à une réalité climatique assez rude : le froid et la pluie de Paris me donnent mal au coeur et me renvoie la tristesse du quotidien en pleine figure. Je reprend le rythme délicat des horaires plus ou moins réguliers, passant d'un rythme de vie soutenu et souvent, oui très souvent imbibé d'alcool, à une récupération intensif et saine.

Le bilan de cette semaine a été plus que positif. Personnellement, j'ai pu reprendre confiance en moi, faire le vide, ne pas penser à grand chose d'autre qu'à aller me dorer la cuirasse au soleil, savoir quand prendre ma douche, quand me raser et ce que j'allais mettre le soir (pour le haut j'entends, j'ai pas lâcher mon pantacourt blanc de tout le séjour), combien de verre j'allais me mettre avant d'être bourré (un grand défi face à soit-même), bref j'ai passé un séjour des plus agréable, au bord de la mer (on avait prit un package without visit avec Ben alors voilà, de l'île je ne connais que les boîtes et les plages). Ceux qui me connaissent savent de quoi j'avais besoin d'évacuer et laisser dans la mer comme saloperies, alors je ne vais pas non plus vous lâcher mon profil psychologique, mais putain ce que ça fait du bien d'avoir pu faire le vide nécessaire.

Seulement voilà, comme il doit toujours y avoir un mais, je mettrai un petit bémol : tout n'a pas été idyllique, et quelques petites embrouilles sont venues ternir ce séjour qui devaient se dérouler parfaitement. Une réaction au soleil qui chauffe énormément là bas nous ont fais tous redevenir de vrais petits ados en puissance, avec ses attitudes, ses réactions et ses réflexions qui vont avec.

Il y avait vraiment beaucoup de personnes autour de nous, alors au moment des décisions, des entretiens et des causeries, il n'était pas évident de pouvoir s'organiser dans les meilleures conditions. Je ne reproche rien à personne, vous avez tous été super avec nous, mais il y a certains aspects de vos vies que nous n'avons nullement besoin et encore envie de connaître, désolé pour ceux qui se vexeraient en lisant ceci. Vous avez vos histoires chacun les uns avec les autres, et nous n'avions pas à écouter les reproches et les doutes qui vous habitent les uns envers les autres.

J'ai appris un peu mieux à connaître Ben durant ce voyage, et c'est souvent dans les voyage que l'on apprend beaucoup sur l'autre. Lui a apprit énormément aussi sur moi, et cette aventure, qui démarra en fanfare, s'est terminée un peu en noeud de boudin. Je n'ai pas apprécié certaines choses, j'en ai kiffé beaucoup, et ce qui est à Malte reste et restera à Malte, contents ou pas, c'est comme ça qu'il faut envisager les choses pour avancer.

J'ai laisser là bas beaucoup de mes soucis que j'avais emmener avec moi dans mes bagages à l'aller, et je les ai troqués contre d'autres car "il faut bien revenir à jeu"...

Ben, mon "bluff" était mal lancé mais il ne devait pas tenir face à un joueur de ta trempe, et finalement à la river il a parfaitement fonctionné. Je ne suis pas celui que tu crois que je suis simplement car tu connais 2 ou 3 tells sur ma gueule, je t'envoie parfois des tell de contre, des tell de bluff, et ça, désormais, il faudra compter dessus. Pas de mea culpa de ma part, j'en ai suffisamment entendu et dis durant ce voyage pour savoir que tu es au courant.

Nass, merci de ton accueil dans un endroit des plus trippant, le tout est parfois de savoir contrôler ses émotions à table, c'est peut-être le petit plus qu'il faut travailler, mais normal, un mec qui a un tel coeur, en a marre de voire sortir des pics au flop je comprends et à toi, je m'en excuse par avance, les croupiers ne font pas toujours ce qu'ils veulent.

Quant au reste de la bande, de la pratique, de la pratique et encore de la pratique car bon, Ben ne vous a qu'initié au poker, il faut beaucoup d'analyse pour comprendre les coups, mais ce n'est pas inatteignable. Merci pour votre dispo et votre accueil à tous, je remets cela dès que possible, et dès que la situation le permettra mais sachez que si je reviens, c'est le moral gonflé et l'esprit revanchard car une matinée au sun avec toi Nassimovitch, notre hôte en or, ne m'a pas suffis, alors je reviendrai une fois ton business en place et ta tête bien fraîche.

Merci Neverdead pour ces rigolades, j'étais venu pour me taper des barres de rires, je pensait pas me faire la tablette entière d'abdo à force de faire tafer mes zygomatiques. Payer pour apprendre vaut mieux que payer pour gagner sans apprendre !!!!

Sous les pavés, la plage

Que serait des vacances d'été sans la mer et la plage ?

Voici dans ces quelques photos des plages que nous avons squatté avec Ben et autres personnages gravitant autour de Malte (private joke)

Golden Bay :






Ah les jongles au bord de la mer,quel kiff immense. Et du coup cette image me laisse impatient de retrouver l'entrainement du mois d'août car voilà le résultat de 3 mois sans sport.


Paradise Bay :






Mehlliah Bay :



La maison du bonheur

Je vous présente l’appart de l’ami Nassim, un duplex de 200 m² (surface habitable j’entends) :



La cuisine :





Mais bon faut pas rêver avec un Burger King en bas de la rue, les pommes de terre qui cuisent c’est du mytho


The first bath room :






The second bath room :





La suite Nassimovitch :








Le salon :






Notre chambre (très bien entretenue et rangée n'est-il pas ?) :







La terrasse avec :

JACUZZI





Nass en train de tafer :


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Non j'déconne les deux galinette se tapent en head's up en ligne :





Voilà les ami(e)s, encore une petite tranche de vie de vacances partagées avec Ben "Neverdead / Barbecue" Lambert durant le summer 2007. Next time, Bulgaria maybe...